Le
contrepoint et une technique d’écriture polyphonique ancienne qui a céder sa
place à l’harmonie tonal.
Il y existe 5
sortes d’espèces de contrepoint suivant plus ou moins la même logique en
fonction du nombre de voix et où chaque sorte permet de gérer les consonances
et les dissonances de manières différentes. Nous verrons donc ensemble chaque
sorte d’espèces afin que nous puissions nous y exercer au mieux.
Quelques règles de base
Pour reprendre Johann Jospeph Fux, qui apparemment aurait même servi de support
à Bach lors de ses cours.
Une chose utile à retenir mais qui n’est pas forcément une règle absolue mais plutôt une convention ancienne, c’est que quand on arrive sur une consonance parfaite (1, 5, 8) on procède par mouvement entre les voix de façon oblique ou contraire et que quand on arrive sur une consonance imparfaite (3, 6) on peut procéder comme bon nous semble.
Une chose utile à retenir mais qui n’est pas forcément une règle absolue mais plutôt une convention ancienne, c’est que quand on arrive sur une consonance parfaite (1, 5, 8) on procède par mouvement entre les voix de façon oblique ou contraire et que quand on arrive sur une consonance imparfaite (3, 6) on peut procéder comme bon nous semble.
Les mouvements : direct, contraire, et oblique
Le mouvement
direct se produit lorsque deux parties, ou plus, se suivent dans la même
direction en montant ou en descendant, conjointement ou par saut, elle peuvent être parallèles ou non par exemple :


ici j'ai employé quelque dissonance en note de passage (marqué N.P) qui seront vu a partir de la 2eme espèce de contrepoint.
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